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Maxime le Confesseur et l'écologie. La place de l'être humain dans le salut des créatures / Pierre Molinié in Nouvelle revue théologique, Tome 145, n°2 (Avril - Juin 2023)

Public ISBD [article]  inNouvelle revue théologique > Tome 145, n°2 (Avril - Juin 2023) . - p. 216-240 Titre : Maxime le Confesseur et l'écologie. La place de l'être humain dans le salut des créatures Type de document : texte imprimé Auteurs : Pierre Molinié, Auteur Année de publication : 2023 Article en page(s) : p. 216-240 Langues : Français Mots-clés : Éco-théologie  Écologie  Pères de l'église  Maxime le Confesseur  Médiateur Résumé : Encore peu utilisée par l’éco-théologie, la pensée de Maxime le Confesseur offre des ressources importantes pour penser la relation entre l’être humain et le cosmos (la présence de Dieu dans les logoi des créatures, la contemplation naturelle, l’image de l’humain comme « prêtre » de la création). Pourtant, Maxime fait de l’être humain un « médiateur » du salut de tout l’univers. Cette place exorbitante doit-elle être rejetée, avec la vision anthropocentrée qui la sous-tend ? Note de contenu : Plan: I - Une création bonne et habitée par Dieu II - La création, chemin vers Dieu III - Le service liturgique de la création IV - Quel anthropocentrisme ? 1 - L’être humain au centre de la création : le projet divin 2 - L’être humain au centre de l’histoire du salut : l’histoire « réelle » 3 - Quelques réponses V - Quelques remarques conclusives 1 - Des réponses insuffisantes : oui, Maxime est anthropocentriste 2 - Maxime contre l’anthropocentrisme Permalink : http://bibliothequeucm.educassist.mg/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=64 [article] Maxime le Confesseur et l'écologie. La place de l'être humain dans le salut des créatures [texte imprimé] / Pierre Molinié, Auteur . - 2023 . - p. 216-240. Langues : Français in Nouvelle revue théologique > Tome 145, n°2 (Avril - Juin 2023) . - p. 216-240 Mots-clés : Éco-théologie  Écologie  Pères de l'église  Maxime le Confesseur  Médiateur Résumé : Encore peu utilisée par l’éco-théologie, la pensée de Maxime le Confesseur offre des ressources importantes pour penser la relation entre l’être humain et le cosmos (la présence de Dieu dans les logoi des créatures, la contemplation naturelle, l’image de l’humain comme « prêtre » de la création). Pourtant, Maxime fait de l’être humain un « médiateur » du salut de tout l’univers. Cette place exorbitante doit-elle être rejetée, avec la vision anthropocentrée qui la sous-tend ? Note de contenu : Plan: I - Une création bonne et habitée par Dieu II - La création, chemin vers Dieu III - Le service liturgique de la création IV - Quel anthropocentrisme ? 1 - L’être humain au centre de la création : le projet divin 2 - L’être humain au centre de l’histoire du salut : l’histoire « réelle » 3 - Quelques réponses V - Quelques remarques conclusives 1 - Des réponses insuffisantes : oui, Maxime est anthropocentriste 2 - Maxime contre l’anthropocentrisme Permalink : http://bibliothequeucm.educassist.mg/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=64

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